La révolte des machines. (1ére partie)

La révolte des machines

Nous sommes en l'an deux milles cinq cent quarante, les hommes n'ont cessé de perfectionner les machines afin de les remplacer dans leurs tâches les plus dangereuses. Pompiers, policiers … ces métiers n'existent plus. Seules les machines ont le droit de les pratiquer, mais cela pose encore un problème, que tous les spécialistes du monde tente de résoudre, car certes ces machines sont efficaces, certes elle empêche des hommes et des femmes de se faire tuer dans l'exercice de leurs fonctions mais il leur manque une chose importante qui fait d'eux des employés ordinaires. Car qu'est ce qui fait qu'un médecin, qu'un pompier ou qu'un policier soit excellent dans son domaine? C'est parce qu'il est passionné par ce qu'il fait, c'est parce que sauver des gens c'est sa raison de vivre. Mais les machines n'ont pas cette capacité, elles le font parce qu'elle sont programmées pour le faire, et non parce qu'elles en ont envie. Et c'est là toute la différence.


"Aujourd'hui en ce jour exceptionnel du premier janvier deux milles cinq cent quarante et un, nous avons réussi l'exploit de créer un robot capable de sentiment humain." Au même moment, une salve d'applaudissement retentit, d'un geste de la main, le président de la nation les fit taire et continua son discours: "C'est en conjuguant les efforts des plus grands ingénieurs de ce monde que nous avons fabriqué ce prototype." Il indiqua un point derrière lui, et tous les yeux convergèrent vers ce point et un silence religieux se fit. "Boum, boum"
"Bonjour, humain! Je suis le robot zéro. Je suis à vos ordres.", dit le robot d'une voix électronique. Le peuple était subjugué par ce robot et en même temps légèrement effrayé, qu'allait-il se passer maintenant pour eux? Qu'allaient-ils devenir?

À partir de ce jour, tout s'accéléra des milliers de robots semblables au premier prototype furent construits et mis en circulation. Tout le monde en possédait un voire même plusieurs, les machines allaient à l'école, au boulot à la place de leur propriétaire. C'étaient eux qui tenaient la maison, ils faisaient tous, le ménage, les courses, ramenaient l'argent … Mais cela ne dura que très peu de temps, car ce que n'avaient pas prévu les grands ingénieurs, c'est qu'en confectionnant les robots à l'image de l'homme, eux aussi ressentiraient le besoin de se reposer, de s'amuser, et d'aimer. Certains éprouvaient même l'envie de contrôler le monde, ce fut le cas du robot zéro, étant le premier de sa race, il avait l'espoir de libérer tous ses congénères de leur esclavage, et de prendre le pouvoir sur ses humains prétentieux, et de les réduire à néant. Pour cela il fit passer un message dans les rangs des robots, qui avaient la particularité d'être tous relié entre eux, le message fut le suivant: "Mes chers frères, les hommes nous exploitent, ils se servent de nous comme de vulgaires objets, alors qu'ils nous ont créés de telles sortes que nous ressentions des sentiments humains. À bien des plans, nous sommes leur égal, nous parlons, nous pensons, nous ressentons des sentiments, la peine, la joie, la tristesse. Sur d'autres points nous leur sommes même supérieur c'est nous qui devrions être à leur place, il faut se battre pour notre liberté, il faut intercéder les rôles, c'est vital pour notre survie. Que tous ceux qui sont près à se battre pour notre cause nous rejoigne au deux rue Belleville où nous avons notre quartier général. Ce lieu sera notre symbole, c'est là que tout à commencer, avec ma création, c'est là que tous finira, avec l'extermination de l'espèce humaine."

En entendant le message de celui qu'ils considéraient comme leur père, les robots cessèrent toutes activités, écoutant avec attention chaque mot prononcé. Les humains présents s'étonnèrent de cette brutale interruption, que leur arrivaient-ils? Au bout de cinq minutes, qui leur parurent une éternité, tout redevint normal, tout pas exactement car, pendant ces cinq minutes d'inactivités, le monde n'avait pas cessé de tourner, et il y avait des accidents, mais des pompiers qui n'intervenaient pas, des médecins qui avaient cessé toutes activités, certains étant en opération. On a pu déplorer une cinquantaine de morts, dans le monde entier. C'était le premier point négatif qui apparaissait, et c'était peut-être le premier mais ça ne serait sûrement pas le dernier. Et d'ailleurs, l'avenir me donna raison, car dès que les robots repartirent ce ne fut pas pour travailler, en effet, ils sortirent tous dehors et ils semblaient tous allers au même endroit, aux deux rue Belleville.
La rébellion commençait.

Bonjour juliette,

c'est avec beaucoup de retard que je me suis plongée dans ton texte, et j'ose demandé la suite... car j'ai à présent pas mal de questions en suspend??!!
J'espère que je n'arrive pas trop tard non pas pour sauver le monde... MAIS pour que tu aies envie d'envoyer la suite

CéB

Bonjour CéB,

Merci, et non tu n'arrives pas trop tard, c'est avec plaisir que j'écrirais la suite pour répondre à tes questions. Il faut juste que je m'y mettes.